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Sibylle toute nue

23 mars 2013

Fin de partie

Pour cette occasion particulière, j'ai souhaité un rituel particulier. Après mon bain dans des senteurs de plantes, je ne me suis pas habillée. Je me suis maquillée très légèrement, j'ai rosi un peu les aréoles et les pointes de mes seins, ce que j'aime bien lorsque je ne porte pas de soutien gorge. Je me suis fardée pour vous. J'ai augmenté le chauffage afin de pouvoir rester nue, car cet appartement est un peu frisquet. Je me suis installée à ma table de travail (et de plaisir) après avoir préparé certains accessoires particuliers et m'être préparée moi-même.

Cette fille est très jolie

J'aime beaucoup cette photo qui illustrait déjà le billet précédent,
et la fille me ressemble vaguement.

Je porte actuellement un plug anal dont la boite me dit qu'il est d'une longueur totale de 129 mm, d'une "longueur pénétrante" (j'aime bien) de 96 mm et d'un diamètre de 46 mm. M'assoir ainsi ornée est toujours un plaisir étrange, ça fait un peu peur. Du coup, j'ai à peine senti le froid du siège métallique sur mes fesses nues.

J'ai entravé mes chevilles, les attachant au moyen d'une cordelette aux pieds de la chaise. J'ai refermé sur mes poignets les bracelets froids, eux aussi, des menottes à chaine longue que mon amie m'avait offertes huit jours avant de se faire la malle. Oui, je suis seule. J'ai toujours travaillé à ce blog seule. La clé des menottes est posée avec mes clés USB dans une petite bonbonnière. C'est à peu près tout pour la mise en scène.

Donc, fardée, nue et entravée pour vous (mes menottes ne me gênent pas pour écrire, mais la chaine fait un curieux bruit, inhabituel, en heurtant le clavier), ainsi parée et préparée, je vous dis au revoir.

Ce blog a été lancé "pour voir". Pour le plaisir, pour exprimer publiquement des choses que je n'oserais jamais exprimer en public. Je me suis amusée, j'ai adoré certaines rencontres bienveillantes, j'ai découvert un univers assez plaisant, peuplé de fantassins du sexe, de vrais libertins et de puceaux complexés. J'ai rencontré un certain succès, passant de quatre visites le jour du lancement à plusieurs centaines certains jours fastes. L'article qui vous a le plus attirés (séduits ?) est curieusement Femmes, je vous aime nues et offertes #2, sévèrement, celui qui a également été le plus critiqué en raison de la dureté de certaines photos proposées. Comme quoi...

Mais ce plaisir a ses revers. Je ne parle pas de certains commentaires ou mails reçus de détraqués. Je parle de ce climat de clandestinité, de secret qui enferme ce blog dans une certaine solitude et me fait parfois peur. Peur de me trahir, peur d'être découverte, peur de ne plus savoir très bien au juste qui je suis vraiment. Peur de ne plus être tout à fait honnête, ou pire, de changer malgré moi. Que le mélange entre ma vie "réelle" avec mes relations réelles, sexuelles, amicales, autres et ma vie ici (sexuelle, c'est arrivé et j'ai conscience que ma mise en scène de ce jour constitue une expérience érotique ; il est probable que je me caresserai avant longtemps ; je viens de glisser ma main menottée sur ma fente et elle est déjà très mouillée) me crée trop de complications.

Alors, une dernière fois, je m'offre à vous, je m'abandonne en pensée à vos bouches, vos ventres, je m'excite à la pensée que vous pourriez vous matérialiser près de moi et profiter de ma faiblesse, nue, attachée et le cul soumis, pour m'infliger, chacun(e) de celles et ceux qui ont aimé me visiter, un coup de ceinture.

Je vous laisse et je vous abandonne Sibylle Berger, qui n'est moi qu'en partie et, bien sûr je ne me nomme pas ainsi, mais la description de moi qui figure, je crois, dans le premier post, est juste. Je laisse Sibylle toute nue, telle qu'elle est, ce blog ne me semblant pas trop moche. Je laisse ouverte la possibilité de laisser d'éventuels commentaires. Mais ce soir, la boite mail qui y est associée sera fermée.

Je vous remercie d'avoir pris un intérêt quelconque à cette expérience. Un merci tout particulier à celle, belle femme et bonne personne, avec qui nous avons échangé quelques mails et qui m'écrivait récemment "Merci de me donner de tes nouvelles Sibylle." Tu te reconnaitras. Je t'embrasse tendrement et te laisse avec un regret : puisqu'il ne semble pas impossible que tu te laisses aller, un jour, contre une femme, j'aurais aimé être celle-là. J'aurais aimé te montrer les gestes doux qui conduisent à l'infini du plaisir, mais aussi te ligoter et, avec ton accord, faire gouter à tes fesses et tes cuisses le cuir brulant de ma ceinture préférée, .fine et incisive

Allez, je disparais.

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20 mars 2013

Entracte

Salut à tou(te)s.

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J'ai dû m'absenter et je ne peux pas publier actuellement. Mais j'ai accès à vos commentaires et vos messages sur mon iPhone.
Sachant qu'en mon absence vos queues restent inutilement raides et vos minous inondés pour rien (je plaisante, bien sûr, vous n'arrêtez pas de niquer en fait et vous n'avez même plus le temps d'allert à la messe ou de me visiter) je vous laisse mater deux vidéos que j'avais prévu de vous montrer un jour.

J'aime cette jeune fille. C'est très court, mais c'est très beau, ce corps d'une très jeune perfection sous la caresse de l'eau et de ses propres mains ; sa façon de se prendre les fesses... Rien de porno, mais ça m'excite énormément. A la première vision, je me suis masturbée, d'abord seule, puis avec une copine au téléphone. Dommage de n'avoir pas le temps de vous raconter ça. Surtout avec ce cochon de voisin en face qui n'en ratait pas une goutte.

Celle- là, j'aime bien aussi, mais pour l'instant elle ne m'a pas servi à me branler.

A bientôt j'espère. Comme disaient mes parents, jouissez sans entraves. Quoique moi j'aime bien qu'on me fasse jouir quand je suis entravée.

15 mars 2013

Miroir, Ô mon beau miroir...

Tous, que nous montrions notre corps ou quelque chose de plus imperceptible, caché au fond de notre âme ou de notre esprit, sommes plus ou moins narcissiques puisque nous nous exprimons sur des blogs. Alors, plutôt que de chercher sur internet ou dans ma collection privée des images émoustillantes, pour le troisième départ en week-end de ce blog, j'ai choisi d'aller choper chez vous, chères lectrices, chers lecteurs, commentatrices et commentateurs, des images que vous avez publiées et qui m'on plu. Qui m'ont touchée, excitée ou simplement dont la beauté m'a séduite.

Dix-sept jours de blog et treize billets, y compris celui-ci, et ma vie n'a pas changée, mais je suis très contente d'avoir réussi à vous faire plaisir. Les commentaires et les messages personnels reçus sont généralement d'une gentillesse, d'une bienveillance que je n'attendais pas. Décidément, le monde des libertins, des adorateurs/trices de la chatte, des fervents et ferventes de la bitte, des dominant(e)s et des dominé(e)s, des as du lasso, du cunni et de la fellation, de ceux qui bandent ou mouillent pour une paire de menottes à elles et eux imposée ou qu'ils ou elles imposent à leurs amant(e)s, leurs amours, leurs relations plus ou moins durables, plus ou moins furtives, ce petit monde de vicelards, de pervers, de tarés, dont je me sens si proche, vicieuse et perverse et sans doute un peu tarée moi-même, ce petit monde qui, à défaut de se regarder le nombril, se regarde plutôt le sexe, est bien séduisant, élégant et fait preuve d'une éducation dont bien des calotins ont été privés.

Certes, il m'a été donné, très vite, d'opposer une fin de non-recevoir à des lecteurs (oui, plusieurs) qui me proposaient, en termes choisis ou vulgaires, c'est selon, de me baiser. J'en profite pour dire une fois pour toutes que ce blog, qui a pour ambition unique de me et vous faire bander ou mouiller (et plus, c'est encore meilleur, n'hésitons pas à aller jusqu'au bout), n'a pas été conçu et ne deviendra pas un site de rencontre. Quitte à paraître un peu culottée (si j'ose dire), voire prétentieuse, je n'ai pas eu, jusqu'à présent à bloguer pour baiser, que ce soit (comme je l'ai lu chez quelqu'un dont la photo, très jolie, est reproduite plus bas) HF, FF, HHF ou HFF, voire FFF ou (modèle grand luxe, préparez les chandeliers et la cheminée) FFFF, je ne suis pas, pour l'instant, allée plus loin.

En revanche, il m'a été bien agréable d'échanger avec de nouvelles copines ou copains (je pense par exemple à hier soir, assez tard) par mail, en toute simplicité, des idées, expériences ou des confidences parfois intimes. Ah, ce bel encordage dans un hôtel qui m'a fait saliver de partout, en même temps que chaud au coeur...

Chers tous, je n'ai pas piqué une image chez chacun et chacune d'entre vous, non seulement ça faisait beaucoup, mais parfois je n'ai pas pu (Lilly, ton joli cul est réfractaire à la copie...). Mais si l'idée vous plait, je finirai chaque semaine (ou chaque mois ?) par un florilège des images que, pour une raison ou une autre et je ne m'en justifierai pas, m'auront attiré l'oeil dans la période. Et uniquement chez vous, chers amis lecteurs (dont je suis aussi une lectrice assidue).

John  

Denis   Michel

 

 

-  

 

 

 



 

 

 

John2jpgCalamit Tiens, un homme !

Elise Sibyl

Waid  Elodie Flow

Eros

Alors, mes chéri(e)s, est-ce que ça vous plait de vous retrouver ensemble dans cette grande partouze oeucuménique, chez Sissi (oui, une de mes meilleures amies m'appelait Sissi, oui oui) ? Ou tout bonnement, trouvez-vous mon idée conne, et moi aussi par la même occasion ?

Bon week-end. N'oubliez pas de faire l'amour, non seulement ça fait du bien, mais avec la météo, rien de ce qui peut réchauffer nos petits corps délicats ne doit être négligé. Messieurs, je vous serre la bitte, Mesdames, je vous glisse un doigt.
Je ne publierai plus avant lundi, ou alors une vidéo vite fait. J'ai l'intention de me réchauffer le plus possible ;)

14 mars 2013

12 fois Cécilia Jauniau, photographe et dessinatrice de nu(s)

On ne peut se nourrir que de cul, comme je l'avais affirmé il y a quelques billets en vous proposant de bander ou mouiller, pour une fois, devant des oeuvres d'art. Mais restons simples, restons entre nous.
J'ai découvert le travail de Cécilia Jauniau il y a quelques mois, à l'occasion d'une exposition. Il s'agit d'une photographe dont le crédo est la nudité féminine, sujet qui me touche intimement. Une de ses particularités est de photographier des femmes qui ne sont pas des modèles professionnels et qui, pour la plupart, n'ont pas l'habitude de poser nue. D'où une crudité orientée par l'artiste vers une grande simplicité très gestuelle.

Je vous laisse avec quelques unes des images qui m'ont plu, qu'elles aient excité en moi la femelle un peu gouine ou l'amatrice d'art et de nouveauté.
Balade sans commentaire parmi les femmes de Cécilia Jauniau. L'érotisme, comme mouvement.

Cécilia Jauniau 1

Cécilia Jauniau 3Cécilia Jauniau 5

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Cécilia Jauniau 14

 

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Elles sont belles ces femmes, non ? Moi elles me donnent envie.
Et ces photos sans visages (mais un cul n'est-il pas un indice suffisant de l'identité) me bouleversent par ailleurs.

J'aimerais bien votre avis, que vous aimiez ou non, même si ça me semble difficile de ne pas aimer.
Une autre fois les dessins, puisque la dame dessine aussi. Avec talent.

Le site de Cécilia qui montre que sa palette est loin d'être limitée : Cliquez.
A bientôt les chéri(e)s.

13 mars 2013

Faire l'amour devant une vidéo

Un billet un peu feignant aujourd'hui, mais,
une personne, M., qui visite ce blog et que je visite a fait un billet rien que pour moi, avec des images, photos ou dessins, très émoustillantes, représentant des femmes faisant l'amour. J'en suis toute émue, toute reconnaissante. Je vous donne le lien ou ça fait nana qui se la pète ? Allez, cest ICI et merci Michel, je suis très, très touchée par ton initiative. Je suis vraiment contente, contente.

Sinon,

tumblr_kzucpu9oHi1qzwuvgo1_500j'ai beaucoup aimé la vidéo que vous pourrez voir, celles et ceux qui aiment cliquer, dans quelques secondes. Je dirais même que le geste qui figure à 1 mn 30 du début a provoqué en moi une émotion qui s'est traduite par ma main sur ma culotte, puis dans ma culotte. J'ai eu immédiatement envie de faire l'amour, surtout de me faire doigter, lécher et j'ai appelé très vite mon amie L. (oui, celle qui m'a accompagnée lorsque j'étais malade, pauvre petite sans défense naturelle). Mais elle n'était pas libre tout de suite. Comme j'avais envie tout de suite, moi, je me suis débrouillée toute seule, avec un doigt, puis quelques doigts, puis un très long et très doux objet vibrant qui squatte, avec ses amis plus ou moins longs, plus ou moins vibrants, ma table de chevet. J'ai remis plusieurs fois la vidéo en me caressant plus vite devant la scène, le geste, une minute trente après le début.

A la fin, j'ai fermé les yeux. Je me suis échappée au pays doux de mes fantasmes et quand j'ai crié, la main inondée, mon amie L. était là, dans mes pensées brûlantes et nous jouissions ensemble.
Je suis allée pisser, ce fut un très long jet réconfortant, j'aurais aimé que L. en profite. Puis j'ai remis la vidéo, très calme cette fois, mais ce n'était plus pareil.
Je vous propose un truc à deux ou à trois ou quatre, pas plus, pas un truc virtuel, mais imaginaire.
Je suis dans mon fauteuil. Je porte un soutien gorge qui ne cache rien de mes auréoles pâles. Un string qui me rentre un peu dans la raie des fesses, mais ce n'est pas grave. Je ne porte rien d'autre. Tu entres dans la pièce. Tu étais dans la salle de bains, tu prenais une douche et tu portes une serviette autour des reins et quelques gouttes d'eau sur la peau, comme des gouttes de sueur à venir.
Tu es un homme ou une femme, je ne sais pas, je ne te regarde pas.
Tu lances la vidéo au moyen de la télécommande et tu me rejoins. Très vite, il n'y a plus de vidéo, de serviette de bain, de string dans la raie de mes fesses désormais vraiment nues. Tu m'embrasses sur les lèvres, sur ma bouche, ta langue cherche ma langue et les deux jouent à nous exciter. Tu me racontes la suite ? Tu me racontes ta bite qui s'allonge et durcit. Ou ta chatte qui s'innonde.

Vidéo. Ne manquez pas le geste de la minute trente après le début, le geste qui, chez moi, a tout déclenché.

Sans déconner, quelqu'un me raconte la suite ? J'ai envie de faire l'amour, moi.

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12 mars 2013

Moi et mon amie et mon ami, plus ou moins malades, dans mon lit

Je suis toujours malade. Je prends bien mes médicaments. Je suis sage. Je me lève peu. Je prends ma température, c'est mieux, ça a bien baissé. J'aime bien mon sirop, très sucré, très liquoreux. Je le laisse couler sur ma langue et j'avale.

Hier soir, mon ami est venu me voir. Je lui ai dit non.

SBamis1Ce matin, mon amie est venue me voir. Elle a voulu s'allonger contre moi, me réchauffer. Elle a retiré ses vêtements sauf son soutien-gorge. Elle trouve ses seins trop gros et elle a un peu honte de les montrer. Je trouve ça bête, je le lui ai dit, mais les filles c'est bête, qu'est-ce qu'on peut y faire ? J'ai caressé son ventre et ma main est descendue tout naturellement vers sa fine toison. Jusqu'à ces dernières semaines, elle se rasait soigneusement, mais je crois qu'elle laisse pousser désormais. Elle veut voir. Moi, j'ai envie de toucher ses seins, les soupeser, les remonter un peu. Ils sont lourds et tombent, peut-être de deux ou trois centimètres. Je trouve ça joli. Je le lui avais dit, mais c'est comme si elle ne se rappelait plus de rien, comme si c'était elle la malade, comme si mon amie était tellement mon amie qu'elle avait pris ma maladie en elle, en son sein et que son esprit très fin était un peu altéré.

Mon ami est revenu et il s'est étonné que je sois couchée avec mon amie, alors que je n'avais pas voulu coucher avec lui. "On lui fait une petite place ?". Il a retiré ses vêtements, sauf son t-shirt. Il a demandé à mon amie de le branler un peu. Il a dit "Un peu", il a ajouté "Juste un peu", mais mon amie est malade, sa mémoire est altérée et elle ne sait plus bien, alors elle a fourré la bite de mon ami dans sa bouche au lieu de la prendre dans sa main et de l'agiter. Elle a englouti dans sa bouche le sexe de mon ami qui était petit en entrant et moins petit en ressortant, puis moins petit en entrant à nouveau, puis plus grand en ressortant et ainsi de suite, et Ainsi soit-il a dit mon ami ; pourtant, il avait envie d'être branlé, pas d'être sucé. Mais il a bien compris que mon amie est malade et qu'elle a un peu perdu l'esprit et que branler et sucer, pour elle, c'est devenu la même chose.

SBamis2Mon ami a dégrafé le soutien-gorge blanc à pois roses de mon amie et me l'a passé. J'ai vérifié, c'est du 90 D, je crois qu'elle n'est pas si malade, je crois que ses seins ne sont pas si gros et ne pendent pas vraiment, ils pointent joliment vers le haut, un peu vers le haut.
Je les regardais et je pensais Mais c'est moi qui suis malade et c'est mon ami et je devrais le sucer car c'est chaud dans ma gorge, c'est irrité et son sperme me ferait du bien, comme un sirop, comme un onguent pour l'intérieur de la gorge. J'ai dit à L. (mon amie) Prête-la moi et j'ai empoigné la bite de mon ami, visqueuse de toute la salive de L.
Elle s'est tournée vers moi et a approché le visage de mon ventre.

Nous sommes restés un long moment ainsi, moi, un peu malade, branlant avec une énergiSBamis3e que je croyais perdue la bite de mon ami, très grosse, très raide, très dure, la lêchant, la suçant en insistant sur le gland car je connais ce garçon et je connais ses faiblesses et L. agitant son cul bien rond sous mon nez alors que sa langue et ses lèvres embrassaient et aspiraient et reniflaient et tétaient et pinçaient et suçaient les lèvres entre mes cuisses, l'entrée de mon vagin et mon clitoris et peu à peu, je me sentais perdre pied, j'étais embétée car je suçais mon ami moins attentivement, moins goulûment, alors que mon ventre retenait SBamis4_500son cri, le retenait, alors que des vagues brûlantes montaient de mon sexe à mon ventre et de mon ventre à mes seins, à mon cerveau, à ma bouche incapable de sucer, alors que ma main qui avait compris ce qui était en train d'arriver prenait le dessus et serrait la bite  congestionnée de mon ami dont j'entendais les râles, sa bite dont je ressentais confusément la palpitation, la tension débordante et je poussai un cri, ce n'était pas ma gorge ou ma bouche, c'était mon ventre qui poussait un cri dans tout mon corps alors que mon visage était fouetté par des giclées de liquide blanc odorant et j'avais conscience que ma bouche et mon sexe et le sperme et l'inondation de mon ventre ne faisaient qu'un cri de bonheur sauvage, que l'instinct de la terre et du ciel me pénétrait en bas et s'expulsait en longs hurlements rauques par ma bouche.

Mon amie, puis mon ami m'embrassèrent sur la bouche, dans la bouche, mon amie lêchait le sperme sur mon menton et sur mes joues et mon ami plongea entre mes jambes boire les restes du vin blanc de messe.

Quelques minutes après, nous étions tous les trois serrés, tout nus, heureux et personne ne pensait que deux seulement sur trois avaient joui. Et qu'il faudrait recommencer, selon un autre agencement.

SBamis5_500

Comme vous le voyez, je suis encore malade, je délire. Quoique. Je me réveille et ils dorment encore. Mon ami dans les bras de mon amie, une trainée de sperme séché à l'intérieur de sa cuisse. Il tient dans sa main droite son gros sein gauche. C'est vrai qu'il est gros.

11 mars 2013

Fièvre

Bonjour, je ne vous fais pas la bise, je suis malaaaaade, très malade, avec de la fièvre, mal à la gorge, un peu de toux. Et ce méchant médecin qui est venu mesurer mon état et qui a refusé de me prescrire ces magnifiques énormes suppos qui, au moins, s'ls n'avaient pas amélioré ma glotte douloureuse, m'auraient comblé le cul.

Sans rire, je suis très malade, incapable d'écrire, d'assumer mon statut de femme libre, pas la tête à vous exciter, ni à m'exciter en pensant à vous. Aucun courage pour répondre aux derniers commentaires (pardon khoreia, Libertin et les autres), ni aux messages persos (pardon à ... vous).

Dans ma culotte d'ado, ma main reste inerte, mon doigt indifférent et sur ma table de nuit, boules de geisha et vibros câlins s'ennuient et menacent de prendre la poussière (le médecin m'a déconseillé les jouets sexuels pendant quelques jours ; mais il a eu la bonté de me faire déshabiller entièrement pour sonder ma gorge ; selon lui, la dureté de la pointe de mes seins pendant l'exploration est signe d'une bronchite externe, voire extrême ; et la chaleur de ma vulve au toucher --ainsi que l'aspect liquoreux de ma fente-- sont signe d'une fièvre nécessitant les traitements les plus drastiques).

Pour vous montrer que je pense à vous, même en ma très sainte agonie, je vous laisse deux vidéos sexy mais charmantes, avec ce qu'il faut de cordes, de cul, de jolis seins et de sourires pour ne pas rappeler que je suis une vilaine fille ayant montré des images qui n'ont pas plu à tout le monde. Pardon à celles et ceux qui ont pensé que je m'égarais dans le violent et le laid. Ci-dessous, que du joli, que du doux.

Vous me laisserez un petit commentaire pour me désennuyer un peu ? Tiens, sous le drap, je baisse pour vous ma culotte de coton blanc. Jusqu'à mi-cuisses. J'ai cassé mon thermomètre rectal, qui me prête son doigt pour vérifier si je suis toujours chaude ?

8 mars 2013

Fêtons les meufs !

8 mars, Journée de la Meuf
cadeau

 

Man

 

Woman

C'est selon vos goûts... choisissez.

7 mars 2013

Femmes, je vous aime nues et offertes #2, sévèrement

Troisième série de photos cette semaine, mais plus sévères cette fois, comme promis.

Je ne vous ai pas caché mon penchant (c'est un gros penchant) pour les pratiques sado-maso, ou comme disent les spécialistes, que je ne suis pas, BDSM. J'aime être attachée, qu'il s'agisse de cordes, de fers, de rubans doux et soyeux, j'aime ces moments où, dans l'impossibilité d'agir, sauf à dire Stop, je me laisse aller, je me relâche, je me sens libre de vaquer à l'intérieur de moi et d'attendre quelle décision prendra mon tourmenteur, ma tourmenteuse en qui, et c'est au principe de ce jeu d'une extrème sensualité, j'ai une confiance absolue. Dans l'amour, je me donne sans retenue. Lorsqu'on m'attache, je me laisse totalement aller à la volonté de la personne qui tient les liens, les dispose, les serre, je me donne comme jamais, plus que dans une relation sexuelle "traditionnelle". D'ailleurs, quand vos poignets et vos chevilles sont immobilisés, quand une corde de rappel bloque vos coudes, une autre vos genoux, que par sécurité, des liens vous entravent à mi-cuisses, que vos poignets sont rattachés à votre taille, que vos seins sont parés de chanvre ou de nylon, séparés, enserrés, ficelés, quand un linge léger vous emplit la bouche et qu'un foulard vous étouffe à moitié, vous n'avez pas vraiment le choix.

tumblr_mgpwomCDTf1qjv9ywo1_500Sauf que, dans les pratiques qui me sont familières, il y a toujours le moyen de dire Stop, je reste, bien que totalement impuissante en apparence, la seule à décider de ma liberté ou non. La seule à décider de continuer ou d'arrêter le jeu. Car, j'insiste, c'est un jeu. Et je le joue : j'accepte ma soumission à l'autre (exceptionnellement aux autres, si plus d'une personne me tourmente).

Je ne vous raconterai pas les détails de ces moments tout à fait privilégiés, exaltants. En général, je suis nue, mais il arrive que je conserve des dessous chics, mais ce n'est pas moi qui décide. Ça fait partie du jeu. Le scénario ne m'est pas connu d'avance, ni la durée de ma captivité, qui n'excède pas quelques heures, mais peut être beaucoup plus courte. L'évidence est que certaines positions appellent quelques coups de ceinture ou une fessée, l'un comme l'autre plus ou moins sévère. J'avoue que quelques traces rouges sur les fesses ou le dos, à l'intérieur des cuisses (aie !) sont toujours un souvenir satisfaisant. Une certaine douleur est acceptable et mon amant ou mon amante sait ménager la force de ses coups en fonction de ce que mon désir acceptera. D'autres positions appellent plutôt de douces caresses, des doigts, de la bouche ou d'objets destinés à faire du bien, avec ou sans pénétration. L'impossibilité de réagir physiquement à ces appels de la sensualité peut décupler le plaisir. Coups et caressent peuvent d'ailleurs alterner sans dommage, bien au contraire.

Je vous en dirai peut-être un peu plus, surtout si vous réagissez à cet article, anoncé il y a quelques jours : j'assume mes promesses.

Pour terminer, trois choses importantes. La relation SM suppose une totale acceptation, en fait un vrai désir, des deux participants ; je ne le pratiquerais pas avec tous ou toutes, la confiance, totale, presque religieuse, doit préalablement être établie. La relation SM est un jeu érotique, mais n'est pas pour moi une condition à une relation sexuelle. Je m'en passe très bien, si je ne sens pas chez l'autre un vrai désir, voire une vraie curiosité. Enfin, le SM dans ma conception est un jeu fondé sur la liberté réciproque, le respect et quelque chose qui ressemble déjà à l'amour. C'est une affaire privée, adulte, une forme d'érotisme plus excitante que toutes les positions du Kama Sutra.

On poursuit la balade dans l'art de la soumission par quelques photos trouvées sur le net. Ça vous choque ?

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Finalement béante.

J'aimerais pouvoir dire, comme aux génériques des films à propos des animaux, qu'aucune des femmes ici mises en scène n'ont été blessées, forcées, humiliées. Je le pense néanmoins, compte-tenu des liens qui m'ont conduite à elles. Et aussi, je crois à la mise en scène.
Je crois aussi qu'un minimum de douleur est acceptable (si elle est souhaitée, attendue) et que la limite à ne pas franchir est celle de la souffrance, on pourrait dire, de la torture, dont aucun jeu sexuel ou érotique ne peut être le prétexte. Mais tout cela est complexe.
J'ai expérimenté sur moi-même plusieurs des combinaisons proposées et aucune n'est douloureuse en soi. La compression des seins (qui peut être très spectaculaire) n'est pas douloureuse, mais ne doit pas se prolonger. Il en est de même de certaines positions acrobatiques montrées ici, qui ne peuvent s'éterniser. Je n'essaierais pas la dernière position montrée, mais j'ai connu à peu de choses près l'avant-dernière... un bon souvenir, d'ailleurs.
Il reste qu'on est plus ou moins souple, sensible à la douleur et que certaines personnes ressentent un plaisir à avoir mal, là où d'autres redoutent les mêmes sensations...

Ca m'intéresserait bien d'avoir votre avis en commentaire ou, si vous ne souhaitez pas vous exprimer "à visage découvert" (tu parles...), par un petit message. Et souhaitez-vous que je publie d'autres images aussi explicites, voire plus (sachant que certaines images manifestement avilissantes n'auront jamais leur place ici) ? Ou, au contraire, que je m'en tienne à un érotisme plus consensuel ?

Je vous embrasse, au-revoir.

6 mars 2013

Femmes, je vous aime nues et offertes #2

Les jolies femmes, bien faites, agréablement occupées ou simplement indolentes, alanguies, indifférentes à tout ce qui n'est pas leur plaisir de l'instant, font de jolies photos. J'aimerais en faire la preuve par six : six images, six femmes, six beautés, qui sucent, branlent, pissent ou simplement se laissent envahir par une douce rêverie, peut-être érotique. Sans doute érotique, imaginant des mains sur leurs hanches rondes, leurs fesses bombées ou leur sexe épilé pour plaire, avant tout à elles-mêmes, mais aussi à leurs camarades de jeux sensuels, leurs amantes ou leurs amants.
Mesdames, Messieurs qui me lisez, ne me jugez pas puérile ou demeurée. Une femme n'est et ne saurait n'être que cela, un objet de volupté, un sujet de plaisir. Dans la Cité, les femmes valent bien les hommes et leur sont supérieures en talents, en courage et en capacités. J'ai retenu la leçon du Castor et de ses héritières. Mais ce blog est consacré au plaisir et ce qui précède s'adresse à la femme dans le plaisir.
je continue parconséquent la série des photos inaugurée hier, en privilégiant aujourd'hui des images qui me semblent belles et raffinées, alors que celles d'hier n'étaient consacrées qu'au cul, sans recherche esthétique.
Je publierai de temps en temps des photogaphies dont je fais le marché sur internet. J'ai fait une promesse la semaine dernière, je ne la rappelle pas, mais elle sera tenue. Disons pour rester simple qu'une des photos montrées cette semaine ne vient pas d'internet...

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Si je publie ces images, c'est parce qu'elles me plaisent. Je suis particulièrement sensible à la première, à cette façon fragile d'être une femme qui fait plaisir, qui donne du plaisir. Sa façon d'aborder ce pénis est émouvante à mes yeux, car vraie. Mettre un pénis dans sa bouche n'est jamais un acte gratuit, mécanique, c'est quelque chose qui engage, qui relève de l'intimité absolue et, que l'on découvre l'homme ou qu'on imagine , pour l'avoir abondamment pratiqué, avoir fait le tour de ses désirs, la fellation est une pénétration sacrée. Mon premier secret du jour : pratiquant aussi bien le cunni que la fellation, j'éprouve pour cette dernière une attirance un peu mystérieuse, qui tient sans doute à l'étrangeté, pour moi, du sexe masculin. Disons que pour moi, sucer une bite est plus exotique que brouter un minou.
J'éprouve beaucoup de sympathie pour la femme qui, sur la dernière image, pisse joyeusement pour la caméra, ou pour la personne aimée, ou au moins complice, qui tient la caméra. Mon dernier secret du jour : j'aime beaucoup qu'on me voit pisser.

Espérant vous retrouver bientôt ici, je vous embrasse.

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Sibylle toute nue
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