Fièvre
Bonjour, je ne vous fais pas la bise, je suis malaaaaade, très malade, avec de la fièvre, mal à la gorge, un peu de toux. Et ce méchant médecin qui est venu mesurer mon état et qui a refusé de me prescrire ces magnifiques énormes suppos qui, au moins, s'ls n'avaient pas amélioré ma glotte douloureuse, m'auraient comblé le cul.
Sans rire, je suis très malade, incapable d'écrire, d'assumer mon statut de femme libre, pas la tête à vous exciter, ni à m'exciter en pensant à vous. Aucun courage pour répondre aux derniers commentaires (pardon khoreia, Libertin et les autres), ni aux messages persos (pardon à ... vous).
Dans ma culotte d'ado, ma main reste inerte, mon doigt indifférent et sur ma table de nuit, boules de geisha et vibros câlins s'ennuient et menacent de prendre la poussière (le médecin m'a déconseillé les jouets sexuels pendant quelques jours ; mais il a eu la bonté de me faire déshabiller entièrement pour sonder ma gorge ; selon lui, la dureté de la pointe de mes seins pendant l'exploration est signe d'une bronchite externe, voire extrême ; et la chaleur de ma vulve au toucher --ainsi que l'aspect liquoreux de ma fente-- sont signe d'une fièvre nécessitant les traitements les plus drastiques).
Pour vous montrer que je pense à vous, même en ma très sainte agonie, je vous laisse deux vidéos sexy mais charmantes, avec ce qu'il faut de cordes, de cul, de jolis seins et de sourires pour ne pas rappeler que je suis une vilaine fille ayant montré des images qui n'ont pas plu à tout le monde. Pardon à celles et ceux qui ont pensé que je m'égarais dans le violent et le laid. Ci-dessous, que du joli, que du doux.
Vous me laisserez un petit commentaire pour me désennuyer un peu ? Tiens, sous le drap, je baisse pour vous ma culotte de coton blanc. Jusqu'à mi-cuisses. J'ai cassé mon thermomètre rectal, qui me prête son doigt pour vérifier si je suis toujours chaude ?